Jésus- Christ, la résurrection et la Vie.
LE CADEAU DIVIN
LE CADEAU MERVEILLEUX DESTINE A CHACUN.
Salut cher ami lecteur, chère amie lectrice. En ce jour, puis- je vous inviter en guise de vœux de Noël à partager le plus beau cadeau que Dieu nous ait donné. Découvrons-le ensemble dans la BIBLE.
1. « Car Dieu a tant aimé le monde afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3, 16).
2. « La volonté de mon Père, c’est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle ; et je le ressusciterais le dernier jour » (Jean 6, 36).
3. « Je suis la résurrection et la vie » (Jean 14, 6)
Marquons une petite pause. Ces trois passages trois passages sont affirmatifs et traduisent une volonté sublime, l'offre de la vie après cette vie, manifestation de l'Amour divin pour quiconque accepte, vous et moi.
Jésus nous offre ce qu’Il a : la capacité, le pouvoir et la volonté de faire revivre chacun en dépit de la mort. Il nous dit : « quiconque me fait confiance dans ce que je dis, je lui redonne la vie ». Pouvons –nous Lui faire crédit ? Cela n'exige même pas un sou dépensé pour l'achat du chocolat ou d'un sapin. Serait-il compréhensible de le rater? C'est cadeau inestimable sans payer que le Dieu qui nous fournit gratuitement la respiration met à disposition de nos âmes également sans payer. Le seul risque qui nous puisse le faire manquer serait peut-être le peu de cas qu'on en fait. A la manière de nos ancêtres qui construisaient des cabanes sur l'or et le diamant, le pétrole et d'autres biens sans en connaitre la valeur. L'offre de Jésus-Christ est-Il plaisanterie pour nous ou Parole sensée?
PAROLE DU FOU OU DU SAGE ? (QU’EN DISONS –NOUS ?)
Qu’aurait été notre jugement ? Discours d’un fou fanatique, d’un charlatan ou promesse véridique ? Qu’en pensons-nous maintenant ?
Considérons une autre affirmation de Jésus-Christ :
« En vérité, en vérité, je vous le dis si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort »
Ici encore cher frère, chère sœur, cher ami bien –aimé, Il s’adresse à chacun « toi » et « moi » nous invitant à la méditation: " puis-je me reconnaitre dans l’expression « quelqu’un »" (Jean 8.51) ?
Au lieu de se réjouir de l’antidote qu’Il leur administrait contre la mort qui fait peur aux humains, certains lui ont dit : « maintenant nous connaissons que tu as un démon, Abraham est mort, les prophètes aussi, et toi tu dis : Si quelqu’un garde ma Parole, il ne verra jamais la mort. Es-tu plus grand que notre père Abraham, qui est mort, qui prétends-tu être ? »
Les interlocuteurs du Seigneur refusent son propos. Mais ils l’attribuent au démon. Ils estiment que Jésus est fou, il a perdu la raison parce qu'il n'est pas dans le concept humainement rationnel de promettre la résurrection physique à autrui. Et seulement par la simple vertu de sa Parole et Sa volonté (C’est au de-là de la physique, la chimie, la biologie , bref de l’entendement humain). Personnellement qu’en pensons nous ? Dans quel camps suis-je en lisant ceci ? Vais –je aussi dire à Jésus et à celui qui m’adresse ces paroles, qu’ils sont fous ? Vais-je Lui exiger autre chose que Sa Parole qu’Il m’offre ? Vais-je lui réclamer une religion ou l’accepter, étant Ce qu’Il dit être ? Il est ce qu’Il dit être et non ce que le monde pense qu’il soit, ni dit de lui, un simple fondateur de religion, un psychologue, un simple prophète, un théologien. Il est la Vie (Je suis la résurrection est la vie dit-il à Marthe et à tous)
LE REFUS DE L’ESSENTIEL .
Comme les auditeurs d'autrefois ne sommes nous pas enclin à n'attendre de Jésus que de réalisations concevables par notre logique humaine, limitée? Et pourtant Il n'a cessé de nous dire qu'Il n'est pas d'en bas comme nous, Lui vient d'en haut? Il nous serait plus aisé de l’entendre nous prêcher une religion assortie de lois prescrivant des actes à accomplir et à ne pas accomplir,nous promettant d’élargir nos Temples ou les embellir, entrer dans nos querelles politico-religieuses pour dire qui a raison ou tort, faire le juge ou le sage pour départager nos terres, et nos héritages, récolter des biens pour les pauvres, nous apprendre des stratégies pour chasser l’ occupant (romain), rencontrer nos problèmes financiers, et pour les plus croyants, guérir nos maladies, et consoler nos afflictions (ce qu'il fait) , mais quand à prétendre nous ressusciter non seulement nous , mais encore ceux qui auront cru après nous et avant nous, ceux que nous aimons et qui nous aiment, le message semble dépasser les limites de notre religiosité, notre théologie , entre science,nos casquettes de civilisées Et pourtant le Maître dit clairement : "réjouissez-vous plutôt de ce que vos noms sont inscrits au ciel";"et encore "cherchez premièrement le Royaume et la justice de Dieu"
Promettre la résurrection ! Pensaient-ils, Jésus s’octroie un pouvoir excessif. Ca ne devait être qu’une piètre prétention ou une ‘’façon de parler’’
Et nous ? Sommes-nous dans la même situation aujourd’hui? Le Dieu qui nous donne la vie peut tout sauf nous remettre en vie, après notre sommeil ! La modernité semble être un alibi comme si l'Evangile du Christ ne s'adresse qu'aux archaïques. En son temps aussi, ses interlocuteurs étaient des modernes et des docteurs.
Et pourtant, Jésus n’est pas resté un rhétoricien théorique mais il a apporté la preuve de ce qu’il offre, il a ressuscité Lazare après quatre jours, la fille de Jaïrus (Luc 8, 42-56) le fils de la veuve de Nain (Luc 7, 11-17). Après sa résurrection, à travers ses serviteurs , Il démontre qu'il vit de manière indubitable.
Pour beaucoup, il ne faut même pas en parler. Les propos de Jésus-Christ ne seraient que des mythes ou des formes de langage ? Voilà la maigre recette que même les églises veulent grignoter. Mais Jésus donne plus. Il est ce Qu’Il dit être et, accompli ce qu’il déclare à la différence de tous ceux à qui on voudrait le comparer. Il reste l’incomparable non seulement dans son Amour et Sa grâce, Son pardon et Sa miséricorde mais encore dans Sa puissance, et Sa puissance de résurrection.
UNE PROMESSE-DÉFI, TESTÉE ET PROUVÉE.
La Parole était dure parce qu’ils ont ramené Jésus à l’échelle de tout humain, le comparant à leur pères, prophètes, commandants des armées et religieux, tous vaincus par la mort. Jamais nul d’entre eux d’eux n’a promis de faire revivre des morts par lui-même. Aussi comme eux, sommes –nous tentés de ne croire de lui que des déclarations en harmonie avec notre intellect, le limitant à nos sens, nos discours religieux, à ceux de nos penseurs, de nos Révérends, nos Evêques, nos ancêtres, prêchant une religion ou des théories qui laissent intact l’équation de la vie et de la mort en disant que nul ne le sait ou que chacun suive sa voie, tendant à satisfaire nos errements. Nous voulons ne nous satisfaire que des promesses engageant la solution aux problèmes terrestres ? Bien qu’Il soit le plus humble, le plus doux, le plus tolérant, le plus aimant des humains, Il ne s’est jamais rétracté. Il a persisté dans ses Déclarations parce Qu’Il est conscient de ce Qu’Il est. Le philosophe et le savant cherchent la Vérité l’un dans la matière, l’autre dans la transcendance, l’un et l’autre cherchent le principe, et le sens de la vie, Jésus certifie : « Je suis, le Chemin, la Vérité et la Vie » (Jean 14,6).
JÉSUS, LE CONTRAIRE DE LA MORT COMME LA LUMIÈRE L’EST DE TÉNÈBRES.
A la différence de tous autres , Jésus a confirmé son propos. Il a dit, Il a fait ! Chaque fois qu’Il a croisé la mort, celle-ci s'est évaporée, laissant toujours la vie reprendre ses droits. Aucun deuil ne s’est poursuivi en Sa présence. Il en était conscient et en avait la maîtrise. Même, le corps mort de Lazare a obéi » à Sa voix après quatre jours sous le tombeau. Qu’avons-nous à perdre en croyant que nos corps morts répondront présents à Sa voix. Ne venait-Il pas de leur déclarer : « Ne vous étonnez pas de cela car l’heure vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendrons sa voix et en sortiront (la Voix du Fils de l’homme) » (Jean 5, 28), et encore cette déclaration à Marthe : « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra quand bien-même, il serait mort ; et quiconque vit et croit en moi. » Ce propos est suivi d’une question : « Crois-tu cela ? Pas à la foule, pas à l’Eglise globalement, pas à la famille et aux amis en club, mais « Toi » qui entends, toi qui m’écoute, toi à qui Je parle, est-ce que tu crois que Je suis ta vie ? Que Je suis ta réponse suffisante à la problématique de la vie et de la mort ? Que lui réponds-tu ? Cette réponse est capitale pour chaque humain. Jésus ment-il ou me dit-il vrai ? A l’heure ultime du passage final vers l’autre côté, à l’heure du sommeil de la mort, il convient d’y avoir bien répondu en acceptant l’offre gratuit. C’est devant chaque humain. Comme le sommeil et le réveil dans nos 24 heures de la journée, à chaque coup du sommeil, Notre Créateur ne nous rappelle –t-il pas à suffisance, que ni notre rang social ni notre richesse ni notre puissance ne nous rendent maîtres de nos corps. Ils doivent dormir ou tomber et se réveiller quand s’éloigne le sommeil, dessinant ainsi le cycle de la mort et de la résurrection. Jésus est l' étincelle Qui rallume la Vie au contact des restes de nos êtres. Aujourd’hui nous dit-Il, « si vous entendez ma voix n’endurcissez pas votre cœur, Je vous aime »(Hébreux 3, 15)!.
JÉSUS N'A JAMAIS TENU UNE ORAISON FUNÉRAIRE ( Y AVONS-NOUS PENSE?)
Bien-aimé(e), examinons encore une petite chose avant de refermer notre Bible ou notre page. A ce jour, la plupart des déclarations du Christ nous affirmant, la certitude de notre vie après cette vie terrestre, sont généralement réservées aux oraisons funèbres, à l’enterrement alors que Jésus n’a jamais fait des deuils ni des oraisons funéraires car sa présence à un lieu mortuaire mettait inéluctablement un terme au deuil par la résurrection obligatoire du mort. Quand un cortège funèbre a croisé le cortège de Jésus , le premier a changé de direction le cimetière n'était plus sa destination , faute de cadavre.
Ce même Jésus né de Marie est le même aujourd’hui qui nous exhorte à réceptionner sa lettre d’Amour pour notre propre résurrection et notre individuelle félicité dans l’éternité. Ainsi nous auronvons une bonne raison de nous réjouir de sa naissance.
UNE QUESTION TOUJOURS ACTUELLE.
Revenons à la question posée à Marthe :
« Celui qui croit en moi vivra quand même il serait mort, et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais » Ce jour là il pose une simple courte question à Marthe :
« Crois-tu cela » ? Maintenant la même question est devant toi et moi. Elle est pour les vivants et non pour les morts, la considérer vaut plus que toute autre occupation du cœur et de notre esprit. Y croire et serrer la Parole du Christ dans son coeur est l'essentiel, en plus du diplôme, de la carrière, de la dignité, des éloges, des richesses, des palais, de la progéniture, des mariages , de la beauté physique, et de tout autre succès dons qui ne pourront franchir utilement la ligne de métamorphose du vivant à la poussière.
La Parole du Christ est le seul cadeau susceptible non seulement de franchit cette porte aide à la franchir et à revenir immortel. Loin d'être un chantage ni un moyen de terreur, l’exhortation du Christ est marque de Sa grâce, le bien, l'amitié, l'Amour liés à sa mission à la manière du parent qui nous donne à boire ou nous exhorte en manger. Dire que bien manger assure la bonne santé et qu' inversement cesser de se nourrir et de boire ouvre la porte vers laa mort n'est que vouloir du bien à qui l'entend et s'y prête. Tel est le service de l’Évangile : partager le témoignage de Celui qui dit: "l'homme ne vivra pas du pain seulement mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu", Jésus-Christ l'espoir des vivants et des morts.
Bonne méditation et joyeuses fêtes !!!
De tout mon cœur aimant cœur,
Frère,Corneille Yambu-A-Ngoyi.
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Que mon âme accepte ton doux regard,
Que je le supporte chaque instant, de ma vie,
ADORABLE JESUS
Délices de mon Cœur !
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De la tombe redoutée renaît la Vie triomphante du Christ
ressuscité.
Nos corps recréés, avec Lui revivront dans sa sublime cité.
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