samedi 22 avril 2017

Vers toi, Ô Jésus




Sur les ailes des jours qui volent
Dans l’azur infini des airs qui me frôlent,
Mon cœur alourdi s’allège de ses fardeaux.
Comme le  voyageur  content  de ce cadeau
Qu’est le labeur  même de ramer
À contre courant sans blâmer,
Se réjouit du souffle chaud ou froid,
Qui balaye son front vers son toit,  
Je me réjouis de  la pensée
Ô Jésus, de bientôt  t’embrasser.




Corneille Yambu-A-Ngoyi
Pousset, le 23 avril 2017