Sur les ailes des jours qui volent
Dans l’azur infini des airs qui me frôlent,
Mon cœur alourdi s’allège de ses fardeaux.
Comme le voyageur content de ce cadeau
Qu’est le labeur même
de ramer
À contre courant sans blâmer,
Se réjouit du souffle chaud ou froid,
Qui balaye son front vers son toit,
Je me réjouis de la
pensée
Ô Jésus, de bientôt t’embrasser.
Corneille
Yambu-A-Ngoyi
Pousset, le 23 avril
2017