dimanche 1 septembre 2019

Fusillades et Jésus...


Ayant rejeté Dieu, l’homme devient fou,
Dans sa fureur, il corrompt tout,
Souillé en sa chair, il ne tient plus débout,
Tant son esprit flétri se vautre dans la boue.

Il court après le vent du plaisir sensuel
Refusant le naturel,
Il traque l’argent hors du commerce formel
Faisant de vies fauchées un marché informel,
Justifiant l’injustifiable par un amendement
Prétendu immuable au pays des amendements,
Lequel autoriserait la vente même aux déments
Des armes de guerre sans tourments.

Sous couvert de lois dites démocratiques,
Fanatiques et excentriques,
Abattent comme la volaille dans un champ antique,
Des paisibles humains vaquant à leurs boutiques.
Cela se fait au Nord où l’on clame aux quatre vents,
Être la quintessence du monde vivant,
Cela se vit au Nord où le droit est mort
Par l’avidité qui mord
Sans sonner le cor,
L’âme cupide qui tue son semblable sans remord.
L’Est, l’Ouest et le Sud, tantôt résistent,
Tantôt admirent, et souvent manifestent
Le désir de rimer avec ce train funeste,
De marchands de la mort qui contestent
Tout ordre de paix
Pour un monde sans épée.
Ce monde est lui-même un signe,
Du retour de Celui qui nous a donné la consigne
D’observer les nations perverties,
L’homme perverti,
Le religieux perverti,
Par un amour d’argent et du plaisir plus que de Dieu.
Comme un de signe de la fin du temps et  
De l’avènement béni de notre Seigneur Jésus-Christ.