lundi 22 avril 2019

La Pâques l'antidote de la mort, preuve du Seul vrai Dieu!

Pendant des millénaires, les Romains, les Grecs, les Égyptiens et le reste de l'humanité ont vogué dans les brumes superstitieuses se forgeant mille divinités n'ayant rien de divin. Les peuples enchaînés dans les mailles de l’ignorance bien que prétendument éclairés par des grands hommes philosophes tels que Socrate, Platon , Aristote, des brillants penseurs et orateurs, Homère, Sénèque, Cicéron, et bien d'autres, des grands généraux comme César et Alexandre le Grand, ces peuples disons-nous, ont pourtant adoré et enseigné des dieux inexistants (Zeus ou Jupiter, Apollon, Hermès, etc...) 
Comment comprendre que des esprits aussi intelligents et braves aient pu durant des milliers des générations avec leurs maîtres s'accrocher au néant voire au faux, institutionnaliser le faux, enseigner le faux, de la cabane du pauvre hère au Palais du Roi, de la rue rustique aux loges urbaines? Et le plus frappant, c'est que ces faussetés religieuses ou savantes furent érigées en foi universelle, en religion d’État au point de condamner à mort quiconque ne se forger pas un dieu ou adorait un autre dieu que celui du lieu?  
Rien d'étonnant! L'homme a soif de la connaissance mais tout son savoir se heurte affreusement à deux rives  infranchissables : celle de la vie et celle de la mort. 
L'homme veut savoir d'où il vient et où il va. L'homme tient à la vie, à la joie, à la paix  et aux siens, mais à peine qu'il peut savourer de quelque satisfaction, le fil se rompt ou peut se casser sans qu'il ne puisse rien garantir. Aussi est-il enclin à recevoir divers prétendants au savoir caché devenant la proie d'illuminés de tous horizons.
Pourtant à bien considérer un seul détient le secret de la vie et de la mort: Jésus-Christ de Nazareth. Il le dit et le prouve. Il n'a eu besoin d’aucun secours pour défendre sa cause, il ne s'est pas limité à une rhétorique sophistiquée, il a démontré qu'il peut mourir et ressusciter, il peut donner la vie aux cellules mortes, aux nerfs morts, aux corps morts. Il sort du lot mythologique. Il est vivant, il l'a prouvé et le prouve dans chaque générations après lui, il fait à travers ses disciples remplis de lui les mêmes œuvres. Il a fait ce que nul humain, ce que nul divinité ne peuvent faire: sortir soi même de la tombe. Est-il vivant, certainement! Chaque Chrétien né de nouveau le sait car il le sent en tout temps. Prouve-t-Il qu'il vit? Certainement et de manière indubitable à travers ses serviteurs comme William Marrion Branham dont il suffit de cliquer le nom pour comprendre que Jésus Christ n'est pas un mythe.
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Demeurer ignorant sur ce qu'il vous advient après cette vie, sur ce que l'homme appelle la mort est un choix malheureux car Jésus nous dit: 
"J'étais mort; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts".(Apocalypse 1, 17-18);
Et  : "Je suis le Chemin, la vérité et la vie" (Jean 14,6);
Et encore : "La volonté de mon Père, c'est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour."
Face aux religions millénaires gréco-romaines,  asiatiques, arabes et africaines face aux superstitions païennes et philosophiques, aux rois et aux érudits, aux riches et aux pauvres, Jésus de Nazareth a assumé son propos sans violence (l'arme du faible et du tyran).  A travers les âges, les siens ont assumé en dépits des persécutions, et son Esprit les a soutenus dans l'amour de leur bourreau. La résurrection du Seigneur Jésus-Christ est l’événement le plus important depuis la création de l'homme sur la terre. La foi en Jésus assure au croyant l'immortalité. La Pâques est ainsi pour quiconque croit: l'antidote de la mort. Mais comme tout vaccin, il n'est utile qu'à celui qui le prend.    Donc c'est un trésor individuel.

Le Seigneur Jésus- Christ notre Pâques et notre reusurrection!


Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d'entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous. (Romains 8 :11)



Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant : Ne crains point ! Je suis le premier et le dernier, et le vivant. J'étais mort ; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts. (Apocalypse 1 :18)