dimanche 18 novembre 2018

N'imitez pas la voie des nations



Ainsi parle l’Éternel : N'imitez pas la voie des nations (Jérémie 10 : 2)

Chers frères et sœurs, c’est là un commandement du Seigneur Notre Dieu. 

Pour mieux saisir sa saveur il est pertinent de poursuivre avec l’idée que nous avons abordée la semaine passée et de comprendre qui nous sommes : « concitoyens des Saints, gens de la Maison de Dieu. Où que nous allions nous avons une autre Nation. La Nation céleste où Jésus-Christ est Roi. Il a dit : « vous êtes dans ce monde mais vous n’êtes pas de ce monde comme moi je ne suis pas de ce monde[1] ». Pilate lui a demandé es-tu Roi il a répondu sans ambages : Je suis Roi . Mais mon Royaume n’est pas d’ici-bas.

Le but de cet article est de nous réconforter dans la voie saine et sainte par rapport à la séduction laquelle présente des vielles coutumes païennes des nations comme une évolution moderne des lois protectrices des libertés individuelles ou collectives. Qu’un groupe de personnes inspirées de quelque philosophie ou de quelque fantasme ; qu’un individu désireux de revenir aux orgies coutumières de nations antiques, couvrent leurs brûlants désirs par quelques projets tendant à satisfaire ses excès charnels, très vite le projet passe pour modernité, et la pudeur, la retenue, la raison même et le jugement sont taxés de puritanisme, conservatisme, etc. 

S’il faut d’exemples pour peser notre propos, considérons en un seul : la location, la vente ou l’achat du sein maternel, en vue d’offrir des enfants à ceux qui par leur choix de ne pas en avoir aux moyens des voies naturelles pourvues par Dieu, tiennent absolument à les avoir. Ce marchandage est présenté sous les voiles d’une percée civilisationnelle, d’un progrès. Combien cet éloge est entaché de perfidie! Et la location des femmes, pompeusement nommée sous des termes juridiques complexes, prétendus modernes ne s’apparente-t- elle pas aux usages organisés par les lois de Lycurgue- neuf siècles avant notre Ère- qui permettaient au mari de prêter sa femme à un célibataire désireux de postérité à Sparte tel qu’expose Platon dans sa République. 

Loin d’être une révolution moderne, la banalisation de l’adultère, et de l’infidélité maritale, voire leur institutionnalisation, rentrent dans la mentalité des peuples païens qui consacraient la communauté des femmes, tel chez les peuplades scythes cités par Hérodote[2] il y a plus de 2000 ans. 

Conclusion.

Bien aimés, quelle pratique licencieuse peut faire ombrage aux valeurs chrétiennes au point de nous faire déchoir de notre assurance et nous pousser à convoiter des impuretés du monde? Jésus - Christ est venu nous libérer des voies perverses des nations. 
Le Saint-Esprit par Saint -Paul nous prévient : « tout m’est permis mais tout n’édifie pas, je ne me laisserai asservir par quoi que ce soit[3]».  


[1] Jean 17,16.
[2] Cité par Platon, La République, les grandes œuvres de la littérature grecque, société d’édition « les belles lettres », Paris, 1948, p.34.
[3] I Corinthiens 10, 23.

dimanche 11 novembre 2018

IMPUDICITE ET ADULTERE, MODERNITE OU RETOUR AU PAGANISME? Ce que Dieu dit.



Ceci s’adresse aux croyants de la Bible, à ceux qui croient que le Dieu qui prévint Noé du déluge, et Lot du feu contre Sodome demeure le Même et aussi à quiconque aspire à la vie éternelle par la grâce infinie de Notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ.
A tous Salut!

De la genèse à l’apocalypse, la Bible révèle que le Diable utilise la souillure charnelle pour faire condamner l’homme et la femme en vue de les tenir sous son autorité et terminer avec ses victimes sa course dans l’enfer (étang de feu). Dieu dit « Tu ne commettras pas l’adultère (Exode 20, 14) » (Un homme marié ou une femme mariée qui va avec un autre ou une autre. Quelqu'un dit : " c'est rien"
L’apôtre Jacques explicite cela au verset 7 de son livre « aller après une autre chair » et montre que ceux qui commettent de telles pratiques iront rejoindre les gens de Sodome qui sont montrés en exemple pour une punition divine. Et le Seigneur Jésus-Christ lui-même dans sa révélation donnée à Saint Jean déclare « dehors les chiens et les impudiques (personnes se livrant aux relations sexuelles libres sans être mariées et n’ayant aucune pudeur sur des actes intimes »). Le monde d'aujourd'hui prêche la liberté de faire de son corps ce que l'on veut, où on veut avec qui on veut, et trompe que c'est une valeur retrouvée, alors que c'est une coutume diabolique ancienne. 

A mes biens aimés dans le Seigneur, par la grâce du Saint-Esprit, je voudrai rappeler que la ruse du Diable passe par le faux enseignement d’un modernisme aveuglant. Faisant croire aux humains et aux victimes du Malin que se livrer aux actes désapprouvés du Seigneur s’est être modernes, civilisés ou libres. Et pourtant c’est plutôt vendre son âme à Lucifer pour des tourments à venir et se priver soi -même de la miséricorde du Dieu qui a dit : « rechercher la sainteté et la paix sans lesquels personnes ne verra la face de Dieu » (Hébreux 12, 14). "Ceux qui auront enseignés la justice brilleront comme les étoiles du ciel" (Daniel 12)

Aujourd’hui la tendance est à la banalisation du sexe, l’embellissement de la volupté pervertie, par la beauté du raisonnement comme au Jardin d’Éden. Au temps de Sodome et Gomorrhe, les coutumes et les lois humaines autorisaient le plus légalement du monde des pratiques vicieuses sous couverts d’institutions sociales admises, mais Dieu dit aux siens (fils et filles de Abraham) de s’en écarter. Au temps de Rome, Jules César était chanté par ses soldats comme le mari de toutes les femmes et la femme de tous las hommes – preuve que les vices actuels ne sont qu’un retour d’un monde ayant rejeté, la lumière chrétienne, à ses coutumes païennes ; l’Égypte ancienne fut connue pour ses orgies, mêmes incestueuses, et sans règles qui éblouirent les empereurs romains de Jules César lui-même avec Cléopâtre à Antoine qui s’en trouva tellement envoûté qu'il oublia Rome. Chez les Grecs, il suffit de lire les dialogues du plus Sage d’entre eux, Socrate pour y découvrir l’éloge des corps masculins par des hommes pour comprendre que les mêmes coutumes y étaient à l’honneur. 

C’est l’Évangile du Christ qui a libéré le monde de cet envoûtement diabolique du faux amour fondé sur les sens sans respect des principes du Créateur, sur les unions libres pour le seul plaisir insatiable de la chair. 

Donc la prétendue liberté  sexuelle retrouvée est celle du chien qui retourne à ce qu’il avait vomi (Proverbe 26,11). Le monde retourne à ses pratiques et coutumes satanistes au nom d’une certaine modernité. Jésus-Christ dit dans le dernier message livrer aux humains (Apocalypse 22,12-16) :
« Que celui qui est injuste soit encore injuste, que celui qui est souillé se souille encore ; et que le juste pratique encore la justice, et que celui qui est saint se sanctifie encore. »
« Je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon ce qu'est son œuvre.  Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d'avoir droit à l'arbre de vie, et d'entrer par les portes dans la ville !  Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge ! Moi, Jésus, j'ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les Églises. Je suis le rejeton et la postérité de David, l'étoile brillante du matin ».  
  
Bien-aimés frères et sœurs dans le Seigneur, pensons-y et optons pour « le camp du juste qui pratique encore la justice, et de celui qui se sanctifie encore. » Le sang de Jésus et son Esprit sont encore en action pour non seulement nous laver de telles souillures mais nous donner la force de nous en éloigner pour toujours. Cela exige une décision et un choix. Se cacher au sein d’une église, d’un ministère, ou de quoi que ce soit ne suffit pas. Seule la vérité délivre et cette Vérité c’est la Parole du Seigneur Jésus-Christ : « Père sanctifie-les par ta Vérité, Ta Parole est la Vérité » (Jean 17,17)

mardi 6 novembre 2018

Notre conduite en Christ, partout et toujours




 Nous rejetons les choses honteuses qui se font en secret, nous n'avons point une conduite astucieuse, et nous n'altérons point la parole de Dieu. Mais, en publiant la vérité, nous nous recommandons à toute conscience d'homme devant Dieu (2 Corinthiens 4,2)